Aïda Asgharzadeh va aux origines (08/09/25)

Dans Le dernier cèdre du Liban, une jeune pensionnaire d’un centre d’éducation pour mineurs apprend la mort de sa mère, photographe reporter de guerre, qu’elle n’a jamais connue. Après Les poupées persanes, Aïda Asgharzadeh livre un nouveau récit de quête familiale, cette fois sur fond de guerre du Liban.
Nedjma Van Egmond
Le dernier cèdre du Liban, de Aïda Asgharzadeh, mise en scène Nikola Carton, avec Magali Genoud, Maëlis Adalle, Azeddine Benamara. Théâtre de l’Oeuvre, 55 rue de Clichy 75009 Paris, 01 44 53 88 88, à partir du 11/09